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Le Parc Astérix essaie t-il de nous la faire à l’envers – Pégase Express (2017)

Après Oziris en 2012, le Parc Astérix a ouvert il y a quelques semaines sa nouvelle montagne russe, Pégase Express. Retour sur ce nouvel investissement pour le parc de l’Oise. Continuer la lecture de Le Parc Astérix essaie t-il de nous la faire à l’envers – Pégase Express (2017)

Nouvelle tentative gauloise… un peu mieux mais vraiment lourde (Parc Asterix 19/08)

Après une nuit pour le moins éprouvante dans le B&B de St-Witz (à 10 minutes du parc, mais dont la clim a décidé de tomber en panne en ce week-end de canicule) nous voila parti pour Astérix en avance afin de bien profiter du parc. 

Un peu plus de 10h lorsque la foule massée dans l’entrée du parc peu courir en direction des attractions… Même si Alex ne souhaitait pas le faire, nous décidons d’aller en direction d’Osiris pour moi profiter de l’attraction et lui faire découvrir la jolie théma de la file d’attente… mais en arrivant nous découvrons une file d’attente de déjà 2h. Marche pour retour en direction de la trace du Hourra

La trace du Hourra

Ambiance préhistorique pour cette attraction de type bobsleigh signée Mack et qui a ouvert il y a (déjà ????!) 11 ans dans le parc. Un parcours de 900 mètres qui nous fait atteindre une vitesse allant jusqu’à 60 km/h… Fidèle à son type de coaster l’attraction nous propose une vraie sensation de liberté dans le ride. Attention tout de même à l’arrivée à deux, le recentrage du wagon peut faire mal à la personne placée à l’arrière.

Belle théma dans la file d’attente, un bon débit et un ride qui n’a pas trop mal vieilli. A faire.

Oxygénarium

Profitons de cette expédition au fond du parc et de l’impatience des gens de faire Oziris pour faire cette attraction aquatique située juste à la sortie de la zone Egypte. La thématisation nous laisse croire que l’attraction a été concue par le Professeur Téfélé pour l’exposition universelle de Paris en 1900. Elle est censé purifier l’oxygène et les visiteurs sont invités à l’expérimenter. Au final, vous êtes installés assis dans une grosse bouée qui va descendre un toboggan à eau d’environ 400m de longueur. La bouée tourne beaucoup sur elle-même.

Joli théma même si elle mériterait quelques effets sonores, de vent ou de brumisation par exemple. De beaux effets même si le parcours est un peu court.

Les chaises volantes

Le nom est pour le moins éloquent… Pas de surprise sur ce type d’attraction datant de 1989 dans le quartier à travers le temps. Une belle hauteur et de la vitesse selon les dires d’Alex, seul à avoir pu faire l’attraction (je n’ai pas pu fermer le mousqueton de sécurité entre les jambes). Un gros coup de gueule envers le pilote en revanche qui n’a pas contrôle la bonne fermeture des mousquetons de sécurité. Ca fait peur !

De bonnes sensation sans trop attendre en cas de forte affluence.

Nationale 7

Il y avait bien longtemps que je n’étais pas monté dans cette attraction. Etant donné le peu d’attente, nous sommes allés jouer les inspecteurs d’attraction ! Nous embarquons a bord de voiture d’époque style tacot pour un parcours plutôt bien entretenu et parsemé de nombreux animatronics. Créée en 1992 l’attraction a du être réaménagée car un point photo existe sur ce parcours et se trouve matérialisé par un RADAR automatique une plutôt belle attention.

Une jolie balade à faire avec les enfants ou pour ceux qui n’apprécient pas les sensations.

Transdemonium

Ce train fantôme est un dark-ride relativement sombre dans lequel nous embarquons à bord de train qui circulent à vitesse plutôt modérée. Dans ce parcours très noir, nous sommes régulièrement surpris par certains éléments. Dommage que l’on ne voit pas grand chose tout de même.

A faire au moins une fois.

Nous décidons de nous arrêter pour déjeuner au restaurant Archimboldo avant de retourner faire des attractions plus « humide » pour contrer la canicule. Mais en sortant du resto nous sommes passés par le spectacle de cascade.

Main basse sur la Joconde

Nous sommes arrivés juste à temps pour ce spectacle, qui malgré notre avance de 2-3 minutes semblait pourtant déjà entamé. Les premières minutes sont très calmes, un peintre vient travailler au port du Havre d’où doit partir la Joconde pour une traversée transatlantique. Mais ce départ vas être mis à mal par de nombreux voleurs qui vont tenter de s’emparer du tableau de De Vinci. Cascades, humour et pyrotechnie sont au programme de ce spectacle proposé depuis 1996.

Un beau spectacle à ne pas manquer.

Nous remontons par le côté « Gaule » du Parc, en repassant par l’Egypte. Avec la chaleur écrasante la file d’attente d’Oziris a littéralement fondue au soleil. Mais 65 minutes d’attente (dont la moitié encore sous le soleil) cela est bien trop pour imposer cela à Alex qui ne souhaitait pas le rider ! A mon grand regret la file « Single Rider » était fermée. Tant pis, ce sera pour une prochaine fois. Nous remontons vers Menhir Express, le parcours de buches du parc, mais la foule d’Oziris semble s’y être retourner… 2h d’attente au soleil pour se faire mouiller non merci. Ironie du sort, au moment où nous arrivons devant le grand splash, celui ci tombe en panne… Nous choisissons donc l’ombre d’une tonnelle au bord de l’eau pour prochaine attraction.

Croisières Epidemaïs

Cette attraction située au bord du village gaulois nous propose (comme son nom l’indique) une balade en bateau dans le monde d’Astérix, le parcours (dont une partie en intérieur) est parsemé de personnages fixe et de quelques animatronics et animations. La croisière est jolie et permet de se poser pour 10 minutes.

Un joli parcours, dommage qu’il ne soit pas plus animé.

Après un passage par le village d’Astérix ou quelques personnages devait certainement mourir de chaud sous leur costume, nous remontons vers l’entrée pour se rafraîchir chez Romus et Rapidus. Celui ci est évidement pris d’assaut pour tous ceux qui voulaient faire baisser un peu la températures torride. Le parc avait toutefois mis en place des jets d’eau à l’entrée de l’attraction en plus des Jeux d’Odous, eux aussi pris d’assaut par cette forte chaleur. Nous décidons donc d’aller prendre « l’eau » au son du chant des gauloises…

Le défi de César

0 minute d’attente dans cette attraction qui ne fait décidément pas le bonheur des spectateurs du Parc. C’est pourtant là bas que j’ai découvert les Mad’house. Il faut dire qu’il y a toujours quelque chose qui ne va pas dans cette attraction ouverte en 2008. Après les effets lumineux dans la tournette la dernière fois. C’était le tableau ou toutes les têtes sont rassemblées qui était HS.

Après l’avoir fait, Le défi de César n’est pas le bon plan pour avoir un coup de frais. Les fontaines apportent une petite baisse de température mais le reste du Préshow et la Mad’house ne sont pas climatisés.

Nous pensions faire le spectacle « La légion recrute » à la sortie mais en arrivant nous nous rendons compte que le spectacle est commencé et que l’horaire indiqué sur l’application Iphone du Parc n’était pas la bonne. Hors de question d’attendre plus d’une heure par cette chaleur pour le voir. Nous quittons donc le parc pour retrouver la clim de la voiture où 1h30 plus tard nous trouverons ceci sur notre chemin à Fismes.

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Le fruit d'une bonne restauration, avec quelques erreurs

Il est un peu moins de midi et demi lorsque nous décidons d’aller déjeuner. Par cette chaleur écrasante, nous fuyons la terrasse pour nous installer à l’intérieur où soufflait un peu de clim. Notre test se posera sur le restaurant Archimboldo situé en plein milieu du parc.

C’est entre le lac et le village Gaulois et à proximité de la sortie du Transdémonium que nous retrouvons ce restaurant service à table. Il est facilement reconnaissable et de loin en raison de son toit fruité. Il représente les fruits qu’a utilisé le peintre italien pour ses tableaux autour des 4 saisons.

Pas d’attente lorsque nous sommes arrivés devant la porte, nous sommes placés rapidement dans le fond de la salle avec vue sur la sortie du village gaulois. La carte est relativement simple : 2 menus (entrée + plat, le deuxième avec un dessert) avec un simple choix pour le plats entre 5 grands classiques : pavé de boeuf, andouillette etc… Pas le choix dans l’entrée ni le dessert qui sont respectivement un samoussa de boeuf avec petites pousses de salade et une petite verrine de mousse au chocolat et une panna cota avec coulis de fruits rouges.  Comptez 24 euros le menu EPD, 19 sans le dessert… boisson en sus.

La salle est propre avec quelques blancs en forme de pomme pour rappeler la thématique des fruit d’Archimboldo. Le service est relativement rapide mais plusieurs choses nous ont dérangé. La table tout d’abord, la notre comme la plupart de celles de la salle, a un pied à base circulaire et le plateau n’était pas stable du tout. Concernant les boissons servies à table, il s’agit de vulgaire bouteilles en plastique telles que celle vendues sur le parc mais en un peu plus cher. Enfin la musique d’ambiance est très (trop ?) répétitive ! Nous ne sommes restés qu’une petite heure à peine dans le restaurant mais j’ai eu l’impression de tout le temps entendre la même chose (qui soit dit en passant n’avait rien à voir avec Archimboldo) une musique Egyptienne.

En définitive, le cadre manque un peu de thématisation sur Archimboldo telle que l’appelle le magnifique toit en forme de corbeille de fruit vu de l’extérieur. Le repas était plutôt bon et la simplicité de la carte est d’ailleurs bien un gage de la qualité de ce qui a été servi. Le prix correct pour un restaurant service à table dans un parc d’attraction.